Antonio Saint Silvestre
sculptures récentes et mobiles
2 mai > 30 mai 2009
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Antonio Saint Silvestre
sculptures récentes et mobiles2 mai > 30 mai 2009
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Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
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Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
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Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
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Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
Souvent inspirés de l’actualité, les œuvres d’Antonio Saint Silvestre dénoncent des réalités qu’on ne demande qu’à occulter même si elles donnent à rêver plutôt qu’à pleurer.
Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
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L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
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Lélia Mordoch
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Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
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Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
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Lélia Mordoch
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Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
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Lélia Mordoch
Le monde est fou, j’adore !
Que faire pour laisser un monde meilleur aux enfants ? Dans quel monde de folie grandissent-ils ? Et pourtant, c’est beau la vie.
Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
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Lélia Mordoch
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Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
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Dans quel monde de folie nos enfants grandissent-ils ?
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Lélia Mordoch
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Désarmé comme vous tous devant les ravages d’une société à la dérive entre pollution et globalisation, Antonio Saint Silvestre fabrique des enfants de toutes les couleurs qu’il met sur le même banc. Venus de tous les continents, ils jouent sous le regard malicieux d’un bébé Lucifer qui éclaire le monde de sa flamme vacillante. Boat babies prêts à être rejetés à la mer, enfants soldats au chapeau turlututu, mini taliban au bouquet de dynamites, ils sont tous logés à la même enseigne, rejetés dans un monde dont on ne sait ce qu’il sera.
Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
Un humour grinçant et haut en couleur domine cette exposition d’amplitude planétaire.
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Lélia Mordoch
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Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
L’enfant roi crucifié meurt au son des trompettes de la renommée.
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Lélia Mordoch
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Juchés sur des chaises trop grandes pour eux, ils font des choses qui ne sont vraiment pas de leur âge : ils travaillent sous l’égide d’Etats bien pensants aux glorieuses armoiries et mangent de bon cœur leur maïs transgénique.
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